Commentapprendre la réverence à son cheval? Posté le 26/09/2012 à 20h42 C'est ce que je fais Avec mon espagnol . je passais le bras entre ces pattes et je suis fessait sentir Commentpouvons-nous vous aider ? Donner des Cours; Donner des Cours. Lieu Sixt-Fer-à-Cheval. Âge de l'étudiant Âge de l'étudiant. Prix Prix. Filtres Plus de filtres. Cours d'espagnol à Sixt‑Fer‑À‑Cheval Trouvez votre professeur d'espagnol idéal à Sixt‑Fer‑À‑Cheval. Nos cours d'espagnol se donnent à domicile ou chez le professeur. Cours particuliers. Cours d'Espagnol Sujet apprendre des tours à son cheval Ven 27 Juin 2014 - 7:31: Bonjour Je voudrais offrir à une amie un livre qui explique comment apprendre à un cheval la révérence,ramasser un chapeau,faire un bisou .savez vous si ce genre d bouquin existe ? si oui,des idées de titres ou d'auteurs ? merci ! J'aime Je n'aime pas : apprendre des tours à son Commeplusieurs personnes m'avaient demandé comment on apprenait à son cheval à se coucher sur demande, j'avais dit que je ferai un article pour y répondre. Je me suis enfin décidée à le faire!!! lol En tout cas, je ne vais pas présenter LA façon de procéder mais UNE façon de procéder!!! Il y a bien d'autres façon de faire que celle que j'ai Vousapprendrez alors tout ce qu’il faut savoir sur ce petit cheval rustique des montagnes basques. Il sera alors temps de redescendre au gré des curiosités naturelles comme les plantes carnivores ou encore des roches sédimentaires du fond des océans qui ont gravit nos montagnes. Dénivelé : 300m. Durée : 3h. Réservation obligatoire. Chaussures de randonnées Mettezvous dos au van, face à votre cheval, bien arrêté. Rassurez-le si vous sentez qu'il est impressionné, puis redemandez l'exercice : chassez les hanches pour bien mettre le cheval dans l'axe, puis si vous êtes un peu éloignés du van, demandez le mouvement en avant en stimulant l'épaule de votre cheval. Vous pouvez maintenant monter Jepense qu'avant de lui apprendre la révérence il faudrait qu'il est totalement confiance en toi, et que même quand il est couché dans son box tu devrais pouvoir l'approcher. Pour cela je pense que tu pourrais essayé de faire un peux d'éthologie avec. Histoire qu'il comprennent que tu ne lui feras aucun mal. MPwhMB. Il t’a vue. Tu le sais parce qu’il a légèrement tourné la tête dans ta direction quand tu es arrivée. Tu as croisé ses grands yeux au regard doux. Immobile, il avait l’air plutôt serein, mais un détail a trahi sa curiosité intérieure il a bougé une oreille vers l’arrière quand tu t’es approchée. Lui, c’est Titane. Le beau mâle à robe toute noire avec qui tu vas passer les 2 prochains jours de cette randonnée à cheval dans les Hautes-Alpes. Tu t’approches avec humilité, un sourire un peu niais en guise de déférence et pour montrer ta bonne foi. Tu as raison à raison de 7 heures par jour de duo cavalier-monture, vous avez intérêt à devenir potes, Titane et randonnée à cheval, c’est aussi pour les novicesTu t’es levée ce matin sans savoir où tu allais parce que c’était ta surprise d’anniversaire. Sur la route qui serpentait dans les lacets à flancs de montagne, tu as commencé à apercevoir quelques petits panneaux qui t’ont mis la puce à l’oreille. “Les Sabots de Vénus”, c’est joli, comme au détour d’un dernier virage, un centre équestre apparait, niché au creux de collines dans l’arrière-pays. Découverte tu vas partir pour une randonnée de deux jours à cheval ! En réalité, tu en rêvais depuis des années sans avoir eu l’opportunité de te lancer dans une telle aventure ombre au tableau de la surprise, il pleuvait. Après un mois de mai éclatant, ce premier weekend de juin sous la bruine c’était vraiment la guigne pour le séjour qui était chevaux prévus pour la rando attendaient sous le porche, attachés à leur anneau respectif. De belles bêtes plutôt trapues. À côté, un cavalier en bottes et chaps occupé à brosser tranquillement une jument à la robe pie. La jeune fille du centre équestre est arrivée à grands pas. Petit bout de femme d’un mètre cinquante, cash, sans détours l’idée qu’on se fait d’une cavalière fait non. On imagine les centres équestres peuplés de jeunes filles en fleurs passionnées d’équitation, qui passent autant de temps à coiffer leurs longs cheveux d’adolescentes romanesques que les crins de leurs protégés. On les devine, dans leur chambre, à croquer inlassablement sur papier la musculature complexe de leur animal adoré galopant, en feuilletant les pages de “Mon Cheval Magazine”.Les chevaux sont roublards et ont les pieds sensiblesLà, la monitrice ne fait pas dans l’eau-de-rose. Toisant son équipage de cavaliers d’un air entendu, elle s’approche de moi d’un pas sûr “Bienvenue, tu es à l’aise pour monter, d’après ce qu’on m’a dit ?”. Voilà. “Tu es à l’aise”. En fait, ton cher et tendre ayant voulu bien faire, il a choisi un stage “niveau intermédiaire” parmi les randonnées proposées parce que le parcours lui semblait plus casse-gueule joli. Il a même ajouté “Oui, elle est partie toute seule en rando à cheval en Mongolie, elle a le niveau”.En fait, pour ceux qui ont suivi tes aventures pathétiques de cavalière lors de ton voyage en Mongolie, tu sais que tu n’as pas le niveau. Tu cumules dans ta longue expérience équestre qui se résume à la France tout au plus une dizaine de balades à cheval souvent en Camargue cul-à-cul et au pas, ainsi qu’une colo de poney au Petit Bornand quand tu avais 10 ans, et basta. Petite, toi aussi tu as rêvé être cette cavalière en bombe rose qui trotte élégamment autour du manège mais non, tu n’as jamais pris de cours d’ du malheur, tes deux acolytes cavaliers qui vont eux aussi participer à la randonnée ne sont pas là pour te rassurer. Le premier, le monsieur à la brosse qui d’ailleurs s’appelle Dan a fait tout le trajet depuis la Belgique pour le stage. “J’ai quatre chevaux à la maison et j’ai mon galop 7 mais je n’ai jamais pris le temps de passer le monitorat”. Tu te tournes anxieuse vers la jeune fille rouquine qui elle a pris le train la veille depuis Nice pour participer. “Moi, je monte en club depuis que j’ai 3 ans, c’est ma passion”. Voilà. Alors toi et tes expériences équestres à deux balles, vous pouvez vous mine déconfite fait rigoler la monitrice. “Bah, t’es à l’aise à toutes les allures ?” “- Oui, oui”. “Super, alors vous prenez vos brosses, on leur donne un coup, on selle, on fait les sacoches et on y va”.Tu attrapes dans le seau une brosse spéciale, ronde et plate à picots, et tu commences à faire de petits ronds consciencieux sur la robe noire luisante du beau Titane. La monitrice passe derrière toi “Faut y aller franco pour décoller la crasse. Là, t’es en train de le chatouiller !”. Très bien, tu t’exécutes. Tu te mets à brosser avec ferveur dans tous les sens, si bien qu’au bout de 5 minutes tu te chopes une crampe au c’est le nettoyage des sabots. La monitrice fait la démo. Elle se saisit d’un cure-pied, ce petit instrument qui ressemble à un tournevis plat coudé, puis elle soulève la patte du cheval qui plie docilement le genou, telle un damoiseau en révérence. “On cure bien sous le sabot et surtout autour de la fourchette, on enlève toute la saleté collée et on fait gaffe que rien ne reste qui pourrait le blesser”. Les chevaux ont donc les pieds fragiles et comme le dit le dicton, Pas de pied, pas de cheval ».Tu t’approches du robuste Titane. Tu lui attrapes la jambe avant en espérant qu’il plie le genou avec diligence. Que dalle il ne bouge pas d’un poil. “Fais descendre ta main jusqu’à l’articulation et vas-y franco, tu vas voir il va la lever”. Décidément cette monitrice a des yeux derrière la tête. Le nettoyage finit par se dérouler sans passe ensuite aux selles. Seller un cheval, c’est un art, surtout quand on part pour des randonnées un peu longues. Tu as quand même retenu la leçon de la Mongolie les chevaux sont de sacrés roublards qui gonflent à plein les poumons quand tu serres les sangles, si bien que quand tu as fini, ils ont cette petite marge de confort supplémentaire et que du coup la selle ne tient pas bien. Pas terrible, d’autant que ça risque de les blesser en France, les chevaux de pays sont heureusement plus dociles. A priori, pas besoin de donner un petit coup de coude dans les côtes du canasson histoire de l’empêcher de faire la baudruche, ici, on n’est pas chez John Wayne. On t’apprend qu’il suffit de le sangler en deux fois pour faire face au problème de gonflement les sacoches sont fixées, remplies des pique-nique du jour, et on est prêts à partir. Le truc pratique, c’est qu’un 4×4 du centre équestre va rejoindre votre groupe tous les soirs dans les différents gîtes pour le la rando, les chevaux ne porteront donc que leur cavalier, et le déjeuner du midi. Ah si, il y en a une qui va porter un peu plus, c’est la mule qui vous accompagne. La mule a ce bagage héréditaire malheureux qui fait que depuis des millénaires, on la charge à tout va. Randonnées ou travaux des champs, même combat. On réfléchira plus tard au sujet de la libération des jour à travers la rivière et les propriétés privéesC’est le départ. Tout ce joyeux petit monde s’en va d’un pas léger, en rangs d’oignons avec une place précise pour chaque cheval. Voyez-vous, en randonnée à cheval, certains ne supportent pas d’avoir l’arrière-train de leur collègue dans le nez et vice-versa. L’ordre est donc à se trouve que Titane, qui a son petit orgueil, préfère marcher devant Cannelle, qui est une jument fatiguée. Si elle fait mine de le dépasser, voilà le pépère qui tout à coup tape un trot pour la distancer. Tu t’émerveilles des hiérarchies tacites qui existent entre ces bestioles d’apparence faussement circuit de la rando commence à travers la plaine. Champs et forêts de feuillus, traversée de rivières, c’est beau, et c’est dommage que le temps ne se dégage pas davantage. C’est encore le début du printemps dans les Hautes-Alpes, les champs de blé vert en fond de vallée sont parsemés de coquelicots, c’est qui l’est moins, c’est la vieille qui se met à hurler à sa fenêtre “Propriété privééééee !” quand le groupe fait mine de longer son champ pour atteindre la forêt. Tout d’un coup l’angoisse te saisit. Et si son mari vous envoyait des plombs ? Eh bien non, point de plombs, mais le voilà qui saute sur son quad pour venir déloger manu militari le cortège de cavaliers. Heureusement pour nous, ce couard fera machine arrière avant d’avoir à tâter le goût des sabots dans son fin de journée se termine dans un très joli gîte forestier, entouré d’une clairière. Tu postes ton cheval devant la grange et tu te réjouis de pouvoir enfin te dégourdir les jambes. Malheureusement, ce qui devait arriver arriva. Après 7 heures de cheval, quand tu descends de ta monture, tu n’arrives plus à marcher. Ça te rappelle la Mongolie où une jeune femme rencontrée dans un camp de yourtes t’avait confié que son amoureux avait chopé une cloque géante sur le postérieur à force de chevaucher en voyage des jours durant. Tu angoisses secrètement que le coup de la cloque ne t’arrive à toi. Mais bon, c’est le jeu ma pauvre chance, on ne compte pas sur toi pour construire l’enclos pour les bêtes. Alors que le soleil disparaît derrière la montagne, tu as juste l’énergie de desseller ta monture, profiter d’une douche chaude tout à fait inespérée dans ce type de séjour et venir déguster le bon petit dîner prévu par l’organisation, avec apéro et tiramisu maison en jour montagne, forêt, orages et réflexions philosophiquesLe deuxième jour de cette randonnée à cheval s’annonce corsé à cause de la météo. On est en montagne et il faut être ultra vigilants. Les prévisions annonçant un très gros orage pour l’après-midi, la monitrice décide qu’il faut se lever aux aurores, préparer les chevaux et avancer d’une traite avant 13 heures, date fatidique de l’arrivée de la dire qu’avec 6 heures d’équitation non-stop, la journée se déroule sans temps morts. Les paysages sont plus montagneux au fur et à mesure que les dénivelés s’accumulent. En prenant de l’altitude, on entre dans le vif de l’aventure. Les reliefs se dessinent. Les chevaux hésitent parfois sur les petits sentiers caillouteux à flanc de falaise, il faut les encourager voire même descendre devant eux et les guider au licol pour les passages les plus la forêt est somptueuse. Comment décrire ce sentiment ? Tu chevauches fièrement tel un aventurier en plein nature et c’est vraiment incroyable. Tu es en France, mais tu te rêves dans le Grand Ouest, et scrute si un Indien d’Amérique authentique ne va pas surgir des bois au grand ce n’était cette maudite douleur dans le dos, les cuisses, les mollets, finalement… partout, randonner à cheval ça serait le rêve. Le gîte se dessine dans la brume d’une clairière verdoyante. Un ruisseau gargouille en contre-bas. C’est beau, mais c’est déjà la fin du est mémorable à peine le temps de desseller qu’une pluie torrentielle s’abat sur le refuge ONF. Tout le monde se met çà l’abri, sauf les guides qui doivent préparer l’enclos. Tu regardes la pluie tomber à travers les carreaux du gîte en attendant que le 4×4 du retour vienne te chercher et tu réfléchis. Oui, la pluie porte à y a une chose que tu es en droit de te demander, c’est pourquoi, à tous les moments où la fatigue s’est manifestement abattue sur ta bête, la monitrice t’a invitée malgré tout à la sermonner à coups de cravache pour qu’elle avance. Étais-tu tant que ça en communion avec ta monture ? Au final, un cheval, qu’est-ce qu’il pense de l’équitation quand on lui met des grands coups de taloche dans les côtes ? L’équitation ne serait-elle pas une fois de plus la démonstration d’une vulgaire domination de l’homme sur l’animal, qui, dressé pour, n’a d’autre choix que d’obtempérer ?Dans cette randonnée à cheval, c’est vrai, y a eu des moments de grâce où tu sentais que tu ne faisais qu’un avec ton cheval. Mais ils ont été rares. Toi qui aurais rêvé, tel un cavalier mongol, chevaucher à cru dans la plaine…Eh bien cette expérience a porté ses fruits car une fois rentrée tu as fait des recherches et tu as découvert qu’une solution existe, ou en tout cas un courant. Ça s’appelle l’équitation éthologique , issue de l’éthologie, qui repositionne le cheval en tant qu’individu qui a des émotions et peut faire des choix, individu que l’homme doit s’efforcer de comprendre, dans ses comportements naturels, et de respecter. Mais ça, c’est une autre histoire…Épinglez cet article !Visited 575 times, 1 visits today Voici des extraits du calendrier de politesse de 2012. Le titre est Savoir-vivre et bonnes manières, une question par jour pour découvrir les règles et usages en France et à l’étranger. C’est paru Editions 365 en 2011. L’auteur est Laurent Loiseau. Le 18 septembre Le raffinement du protocole La reine d’Angleterre Victoria prit un jour son carrosse, accompagnée d’un chef d’Etat en visite officielle en Grande-Bretagne. Dans Londres, alors que l’équipage remontait le Mall, l’un des chevaux lâcha un bruit aussi sonore qu’incongru que tout le monde entendit dans la voiture. La reine, très embarrassée, s’excusa auprès de son hôte. Que croyez-vous donc que celui-ci répondit ? Réponse Le plus naturellement du monde, le chef d’Etat s’adresse à la souveraine de ce si grand empire et lui dit, avec une élégance mêlée d’une ponte d’impertinence Ne vous en faites pas, madame. Mais si votre Majesté n’avait rien dit, j’eusse pensé que c’était le cheval ! ». » Miscellanées sur le savoir-vivre, la politesse et l’étiquette Le 25 septembre Dans les maisons bourgeoises, quelle fut longtemps la coutume la plus répandue concernant la domesticité ? Changer le nom des serviteurs Marier la bonne au jardinier Les loger dans une maisonnette Réponse A changer le nom des serviteurs Certaines pratiques courantes de l’âge d’or de la politesse tomberaient aujourd’hui sous le coup de la loi. Ainsi, il était courant que l’on annonce leur prénom aux nouveaux domestiques. Bonne, cuisinière, femme de chambre, chauffeur ou jardinier étaient ainsi affublés de prénoms tels que Léontine, Clémentine, Marie, Firmin ou Baptiste afin qu’ils ne puissent se confondre avec le nom de l’invité. La raison la plus souvent invoquée pour justifier cette pratique était, pour les propriétaires, d’avoir à éviter de retenir un nouveau prénom à chaque changement de personnel… » Miscellanées sur le savoir-vivre, la politesse et l’étiquette 16 novembre Un petit tour et puis s’en vont… La révérence a totalement disparu de l’éducation française depuis la fin des années 1950. Pourtant, son apprentissage est toujours d’actualité chez les jeunes filles de la bonne société, qu’elles soient belges, néerlandaises ou britanniques. Savez-vous pourquoi ? Parce que la politesse est plus importante dans ces pays qu’ailleurs. Parce que la royauté fait partie de leur identité nationale Parce qu’elles sont susceptibles de rencontrer un jour le souverain de leur pays Réponse C parce qu’elles sont susceptibles de rencontrer un jour le souverain de leur pays. Au passage de la reine Elisabeth II d’Angleterre, de la reine Béatrix des Pays-Bas ou du roi Albert II de Belgique, nombre de jeunes filles savent parfaitement se contorsionner avec grâce comme on le faisait jadis. Leur révérence est le signe de leur attachement à la monarchie constitutionnelle de leur pays. On leur apprend donc la petite référence, où la jeune fille fléchit légèrement les genoux tandis que ses bras restant ballants, et la grande référence, au cours de laquelle la jeune fille ou la dame fait un geste ample en forme de cœur avant de relever les pans de sa robe lorsqu’elle accentue le fléchissement de ses genoux jusqu’à s’accroupir. Le saviez-vous ? Jusqu’en 1968, on apprenait aux jeunes files de la haute société française à pratiquer les gestes de révérence. » Le 11 juillet Tchin-tchin ! Le mot trinquer » vient de l’allemand trinken, qui veut dire boire ». Aujourd’hui, on ne trinque qu’avec un verre d’alcool en main de la bière, du vin, du cidre ou de la vodka, par exemple. La coutume viendra-t-elle à s’éteindre un jour ? Toujours est-il que depuis les années 1970, l’influence anglo-saxonne tend à remplacer celle-ci par le toast, ce lever de verre à l’américaine. Quant aux pays musulmans, ils trinquent le plus souvent en buvant le thé ou le café. On aime colporter l’histoire de ce capitaine d’industrie qui, après avoir signé un important contrat en Chine, honore ses hôtes d’un toast d’adieu. Après avoir sabré le champagne, celui-ci lance à la cantonade le tchin-tchin ! » traditionnel. Le responsable de la délégation chinoise, après quelques secondes d’hésitation, lève son verre à on tour en lançant un non moins tonitruant France-France ! ». » Note personnel aujourd’hui, il est parfaitement possible de trinquer avec un verre d’eau ou un verre de jus de fruit. Vous en saurez plus ici. Miscellanées sur le savoir-vivre, la politesse et l’étiquette Le 26 décembre Qui a dit — Ce soir, je ne suis pas le Premier ministre et vous n’êtes pas le président de la République, nous sommes deux candidats… Vous me permettrez donc de vous appeler monsieur Mitterrand. — Mais vous avez tout à fait raison… monsieur le Premier ministre. » ? Valéry Giscard d’Estaing Michel Rocard Philippe Séguin Laurent Fabius Jacques Chirac Réponse E Jacques Chirac Avant le deuxième tour de l’élection présidentielle de 1988, les deux candidats, Jacques Chirac et François Mitterrand, débattent sur Antenne 2. On assiste alors à un grand moment de raffinement dans l’art de la perfidie oratoire. Le savoir-vivre est respecté, mais les réparties sont d’une cinglante cruauté comme l’illustre cet échange entre les deux hommes. Le débat, qui fait date, prouve que la politesse extrême n’atténue pas la violence des propos. » Le 30 décembre Carte de vœux… une affaire d’artiste Dans quel pays est née la coutume de s’adresser des cartes de vœux ? En France En Angleterre En Espagne Réponse B En Angleterre C’est au milieu du XIXe siècle, vers 1843, que le fondateur du Victoria and Albert Museum de Londres, un certain Henry Cole, proche du prince Albert, l’époux de la reine Victoria, eut l’idée de créer des cartes de vœux, à l’occasion de la nouvelle année. Il confia au peintre John Culcott Horsley le soin de lui dessiner un petit carton tiré à mille exemplaires. Quatre cents cartes furent réservées à Cole et si cents destinées à être vendues au prix d’un shilling. La carte de vœux était née. » Miscellanées sur le savoir-vivre, la politesse et l’étiquette Le 7 mars Arsène Lupin et les cartes de visites cornées Il existe une coutume étrange qui consiste à donner une carte de visite dont on a auparavant plié le coin supérieur. D’où provient cette singulière pratique et dans quelle circonstance est-on susceptible de recevoir la mystérieuse carte cornée ? Il s’agit d’une manière de se faire connaître pour les francs-maçons. La carte pliée est le signe d’un passage en ville ». Un coin corné, c’est un cœur qui se déclare. Réponse B la carte pliée est le signe d’un passage en ville ». Une carte au coin pliée est un code indiquant que celui à qui elle appartient est venu lui-même la déposer au domicile de son destinataire. Souvenez-vous du héros de Maurice Leblanc, Arsène Lupin ne pliait-il pas le coin de la carte de visite qu’il laissait toujours sur le lieu de ses méfaits ? Il n’était pas rare, à l’époque où le téléphone n’existait pas, de se rendre chez quelqu’un pour y déposer une lettre ou demander audience. En cas d’absence, on laissait la carte pliée. Une autre coutume consistait à faire déposer par un domestique une carte, non cornée cette fois, en y faisant figurer des mentions abrégées qui nous paraissent aujourd’hui bien mystérieuses » signifiait pour prendre congé », », pour prendre nouvelles » et, en guise de première déclaration, » voulait dire pour faire connaissance ». Seule réminiscence contemporaine de cette époque où la lenteur pimentait encore les rapports humains, la modeste mention » que l’on peut apposer à la place du timbre sur une enveloppe que l’on dépose En Ville », c’est-à-dire en personne. » Miscellanées sur le savoir-vivre, la politesse et l’étiquette Le 30 mai La diplomatie des petits pas Rien ne vaut un cadeau pour renforcer l’amitié entre les peuples, sauf s’il est choisi par des fonctionnaires qui ne connaissent rien à la culture du pays qui reçoit. Dans ce cas, la cérémonie de l’échange des présents peut tourner au vinaigre… En 1989, on frôla l’incident diplomatique à l’occasion de la visite officielle en Chine du président Georges Bush. Tout avait pourtant bien commencé ce dernier reçut du Premier ministre chinois Li Peng une splendide bicyclette, en souvenir des promenades à vélo que l’ancien ambassadeur des Etats-Unis à Pékin affectionnait. Puis, ce fut au tour de Georges Bush de présenter le cadeau du peuple américain au plus grand pays d’Asie une magnifique paire de bottes de cow-boy. Ravi, le premier ministre chinois les accepta avec plaisir, mais faillit s’étrangler lorsqu’il découvrit les semelles sur lesquelles le drapeau chinois était gravé. Les personnes quelque peu informées savent pourtant qu’en Asie la semelle des chaussures est considérée comme la partie du corps la plus vile et la plus impure. De toute évidence, les Etats-Unis venaient d’écraser sous leurs bottes l’Empire du Milieu… » Le 7 août Peut-on faire attendre sa dulcinée en risquant quelques minutes de retard ? C’est indispensable pour se faire désirer. Pas question l’exactitude est la politesse des rois Seulement au premier rendez-vous pour voir si la demoiselle est patiente. Réponse B Pas question l’exactitude est la politesse des rois Quel que soit le pays ou le milieu, tout retard à un rendez-vous galant sera interprété, à raison, comme le signe d’une grossièreté intolérable, surtout si ce retard est le fait de la gent masculine. Il est donc à proscrire absolument, surtout s’il s’agit de fomenter un plan machiavélique pour vérifier l’impatience de l’intéressée ou tout simplement pour se faire désirer. Un rendez-vous galant n’a rien d’un jeu de stratégie. C’est une démonstration de finesse et de gentillesse. En revanche, vingt minutes de retard sont toujours tolérables en ce qui concerne le beau sexe… à condition que la jeune femme prie son compagnon de bien vouloir l’excuser. Le saviez-vous ? L’écrivain Montherlant raconte, dans Les Jeunes Filles, comment le personnage principal comptabilise le retard de ses rendez-vous et prend la décision de les quitter au bout d’un temps équivalent à ces minutes de retard accumulées ! » Miscellanées sur le savoir-vivre, la politesse et l’étiquette Le 15 août De la délicatesse dans un monde de brutes Dans la rue, chez des amis, dans une réception, où que vous vous trouviez, votre comportement est passé à la loupe par ceux qui vous entourent. Sachez que les gens du monde ont la capacité de faire trois choses en même temps parler pour ne rien dire, regarder autour d’eux pour repérer une incongruité qui pourra faire l’objet d’un commentaire a posteriori et écouter les commentaires désobligeants déformés et amplifiés. Gare aux attitudes déplacées. Pour échapper au pilori, imitez les gazelles plutôt que les éléphants. Lorsque vous marchez, ne claquez pas les talons. Apprenez à ouvrir et à fermer délicatement les portes. Ne faites pas craquer vos doigts. Riez, pouffez, gloussez, mais ne barrissez pas. Bref, soyez aérien dans votre comportement. Le saviez-vous ? La prestance date de l’année 1530 ! C’est Erasme qui, le premier, fit passer l’idée que l’honnête homme était d’abord quelqu’un qui contrôlait parfaitement son corps. Silencieux, pudique, le corps redressé en permanence, le costume parfaitement ajusté, l’homme, par une présentation et une attitude irréprochables, sort de la lascivité, de l’imbécillité et de la sournoiserie. Avec Erasme, la civilité n’est plus un art de feindre, mais devient une attitude naturelle et saine, dont on peut être fier. » Le 21 août Trésor de la politesse Lors de sa venue à Londres, à la fin du XIXe siècle, un dignitaire indien fut invité à table par la reine Victoria, qui n’avait rien d’un boute-en-train. Elle eut un éclair de génie qui surprit son assistance et fit traverser les âges à cette anecdote. Lors du premier souper, des crustacés furent servis. Une coupelle en argent avec de l’eau et une rondelle de citron était disposée à la gauche des convives, afin que chacun puisse se rincer les doigts après avoir touché aux fruits de mer. Notre plénipotentiaire indien, qui n’avait pas été informé de ce protocole culinaire, but d’un trait l’eau citronnée. S’apercevant de la méprise, la reine eut la présence d’esprit et la délicatesse d’en faire de même, sans attendre, ce qui sauva l’honneur du diplomate. Par sa générosité et son sens de l’à-propos, la reine Victoria sauvait ainsi son invité indien d’une humiliation publique, s’il s’était aperçu que l’un des convives utilisait la boisson comme eau de rinçage. En emboîtant le pas sur-le-champ à la méprise de son invité, la souveraine portait le savoir-vivre au pinacle elle agissait avec à-propos, comme doit le faire une maîtresse de maison, en donnant à tous les convives le signal de la règle à respecter ne pas mettre ses doigts dans le rince-doigts, éventuellement le boire. Un cas d’école en matière d’étiquette. » Miscellanées sur le savoir-vivre, la politesse et l’étiquette Le 11 décembre Dans quel pays a-t-on l’obligation de s’adresse à ses voisins de table ? En France Aux Etats-Unis En Italie Réponse B aux Etats-Unis Il y a des règles de savoir-vivre plutôt contraignantes ! Aux Etats-Unis, la politesse enjoint les convives d’un dîner à se parler mutuellement. La règle est si stricte qu’elle a déjà donné lieu à des scènes cocasses que la chronique mondaine et la littérature ont relatées. Ainsi, il est déjà arrivé que certaines personnes, mal embouchées ou exaspérées par leur voisin de table, se penchent vers eux pour leur réciter la table de multiplication ! Et ce, sans qu’il soit possible de s’en offusquer, tant les scandales sont proscrits par la politesse puritaine. » A 17 ans, Silvana a tiré sa révérence. Début février 2016, lors du Jumping international de Bordeaux, l’une des deux étapes françaises de la Coupe du monde de saut d’obstacles, la jument à la robe grise a fait ses adieux au public. Aujourd’hui, elle coule des jours tranquilles au haras de la Forge à Vauville Calvados. Pendant plus de six ans, elle a accompagné ­Kévin Staut, l’un des meilleurs cavaliers du monde. Avec ­Silvana, l’ancien numéro un mondial a décroché de nombreuses victoires et quelques médailles prestigieuses – l’argent par équipe aux Jeux équestres mondiaux de au long de leur collaboration, le couple a appris à s’apprivoiser. Kévin Staut a su tirer le meilleur d’une jument réputée pour son fort caractère. Silvana est ma ”princesse”, expliquait le cavalier après trois années ensemble. Nous avons créé une vraie relation de confiance malgré sa sensibilité. Silvana déborde de qualités. Elle est respectueuse et rapide. » Lors de ses adieux à Bordeaux, Kévin Staut a loué la jument de sa vie », vantant son mental extraordinaire » et son cœur énorme ».L’osmose entre le cheval et son cavalierAboutir à une telle relation de complicité avec sa monture représente la quête de tous les cavaliers. Beaucoup de cavaliers parlent du cheval de leur vie, une expression consacrée dans notre milieu, pour évoquer la monture qui a entièrement confiance et qui donne toujours le meilleur d’elle-même », explique Julien Épaillard, cavalier français de niveau international, qui a choisi Quatrin de la Roque 12 ans en septembre 2015 comme cheval de tête. Avec ce dernier, il n’a pas encore atteint l’harmonie parfaite. Il n’a pas toujours les réactions que j’attends », précise celui qui se rappelle avec émotion de Si tu viens, le premier cheval qui l’a fait de mettre des mots pour définir l’osmose qui peut se créer entre le cavalier et son cheval. C’est comme un couple dans la vie des êtres humains, image ­Roger-Yves Bost, médaille d’or par équipe aux Jeux équestres mondiaux de 1990 et champion d’Europe de saut d’obstacles en 2013. Quand le couple fonctionne, on peut tout demander à son cheval. Mais avant d’en arriver là, il faut apprendre à se connaître. Il ressent lorsqu’on lui fait confiance et en retour, il donne tout. »Un patient travail d’apprivoisement S’il n’y a pas de relation de confiance et des moyens de communication qui s’installent avec le cheval, c’est très difficile de lui demander de franchir des obstacles élevés, estime Julien Épaillard. Le secret, c’est savoir l’écouter. Ce n’est pas une mobylette ! La fusion entre le cheval et son cavalier est vraiment essentielle à la performance. »Cette symbiose est le fruit d’un patient travail d’apprivoisement entre le cavalier et son cheval, depuis le choix de la monture. Avec l’expérience, on apprend à évaluer la puissance et l’énergie d’un jeune cheval même si on peut toujours se tromper, indique ­Roger-Yves Bost, qui vise une sélection pour les Jeux olympiques de Rio cet été. Après, pour le faire progresser et apprendre à le connaître, il n’y a pas de secret, il faut passer du temps avec lui. Personnellement, je les monte deux fois par jour. »Les cavaliers de haut niveau possèdent un cheval de tête – le meilleur – mais en montent plusieurs en compétition pour préparer sa succession. Ils doivent veiller à la préparation et à la montée en puissance de leurs champions en devenir. Leur consacrer du temps pour aboutir à une équitation tout en finesse où le cheval comprend en un instant la direction du les chevauxFaçonner des chevaux est le cœur du métier de cavalier. À chaque fois, il faut s’adapter à un animal qui possède sa propre personnalité. Former un cheval est un perpétuel recommencement et chaque cheval est une nouvelle histoire passionnante, avec ses difficultés, ses joies, ses espérances, ses échecs », a expliqué Simon Delestre, le meilleur cavalier français, dans une interview sur le site des équipes de France plusieurs saisons avec Mozart de Beny, aujourd’hui retraité, Caroline Nicolas travaille avec sa jument Stoulone du Genet 10 ans pour créer une relation aussi forte. Elle la forme depuis l’âge de six ans. Je la monte depuis quatre ans, on se connaît par cœur, raconte la jeune femme. On a nos codes. Avec le temps, je cerne son caractère et son état d’humeur. Le matin, quand j’arrive dans le box et que je la vois, je sais comment elle va se comporter dans la journée. » Terre de ChevalLe forum du site Terre de Cheval Previous topic Next topic Author Message Laura-FandangoGuestOffline Posted Sun 1 Aug - 1314 2010 Post subject Apprendre la révérence. Bonjour,J'aimerais savoir comment apprendre la révérence à mon pour vos astuces. Back to top Publicité Posted Sun 1 Aug - 1314 2010 Post subject Publicité PublicitéSupprimer les publicités ? Back to top Julia*ErmesCheval confirméOfflineJoined 19 Sep 2008Posts 1,753Localisation Vienne Autriche Nom de mon cheval ErmèsVotre humeur en vacances, relaaax Posted Sun 1 Aug - 1841 2010 Post subject Apprendre la révérence. Il faut déjà lui apprendre ou du moins qu'il puisse faire le campo, puis tu peux commencer la révérence. Pour cela, tu prends un antérieur dans ta main, tu tiens une friandise sous son ventre entre ses antérieurs avec ton autres main, et il ne reste plus qu'a ce qu'il essaye de prendre la friandise et avec un peu d'entrainement, pose son genoux au sol. Pour plus d'infos pas intêret à m'chercher Back to top julie17GuestOffline Posted Sun 1 Aug - 2029 2010 Post subject Apprendre la révérence. Julia*Ermes wrote Il faut déjà lui apprendre ou du moins qu'il puisse faire pourquoi Julia ? Back to top Julia*ErmesCheval confirméOfflineJoined 19 Sep 2008Posts 1,753Localisation Vienne Autriche Nom de mon cheval ErmèsVotre humeur en vacances, relaaax Posted Sun 1 Aug - 2200 2010 Post subject Apprendre la révérence. Ca le rend plus souple. Enfin, moi je travaille avec mon poney de 18 ans donc j'peux pas passer direct à la révérence dès le début du travail surtout en hiver, sinon il n'arrive pas à poser le genoux et pli l'antérieur "d'appui" si tu vois ce que je veux dire _________________Z'avez pas intêret à m'chercher Back to top julie17GuestOffline Posted Mon 2 Aug - 1338 2010 Post subject Apprendre la révérence. oui je vois tout à fait je n'avais pas pensé à ça dis donc 18 ans, il pete la forme le bel Ermès Back to top Julia*ErmesCheval confirméOfflineJoined 19 Sep 2008Posts 1,753Localisation Vienne Autriche Nom de mon cheval ErmèsVotre humeur en vacances, relaaax Posted Mon 2 Aug - 1434 2010 Post subject Apprendre la révérence. _________________Z'avez pas intêret à m'chercher Back to top Laura-FandangoGuestOffline Posted Wed 18 Aug - 0936 2010 Post subject Apprendre la révérence. Merci de tes conseils je vais essayé de lui apprendre Back to top Display posts from previous Je ne suis pas magicien, mais mon expérience et mon parcours professionnel m'ont appris qu'il n'y a avec les chevaux qu'une seule formule magique... Tout miser sur leur décontraction ! Tous les soucis de crispation, de résistance, de manque de légèreté, toutes ces tensions dans les rênes et dans leur corps... Tous ces problèmes d'incurvation, de souplesse latérale, de rigidité d'un côté plus que l'autre... Toutes les conséquences de ces difficultés, gênes et douleurs physiques, manquent d'amplitude, défaut d'équilibre, manque d'impulsion ou au contraire difficulté à rester calme, problèmes de dos, processus épineux... Résident uniquement dans le manque de décontraction de votre cheval ! Parce que le manque de décontraction, entraîne la crispation physique, les muscles se tétanisent et empêchent la fluidité du mouvement. Le cheval se durcit physiquement, ce qui nuit au relâchement mental, ce qui hélas entraîne plus encore de crispation physique... Et vous positionnez ainsi votre cheval dans un cercle vicieux, malgrès tout vos effort, et votre travail... Et les kilomètres d'assouplissements ne feront qu'aggraver le problème, comme si pour apprendre à faire le grand écart on vous appuyez fort et longtemps sur les épaules pour descendre plus... au mieux vous casserez physiquement, au pire vous casserez mentalement !! J'ai aussi eu la chance d'apprendre comment, simplement, rapidement et bien sûr respectueusement, faire "sauter" ces crispations et inviter les chevaux à se décontracter, à faire le choix de participer à notre sport et devenir nos partenaires. Pour moi, tout repose sur la décontraction, qui s'obtient plus facilement dans une attitude ronde, et plutôt basse. Cela relâche le corps du cheval dans son ensemble, ce qui l'invite à se relâcher mentalement, ce qui favorise plus encore la décontraction physique... Vous entrez dans le cercle vertueux !! Je vous rassure, je ne suis ni un gourou, ni un prophète, je me suis juste donné la chance d'apprendre auprès des meilleurs, sur le plat comme à l'obstacle, puis de synthétiser tous leurs enseignements en une méthodologie simple et facile à mettre en place. En s'appuyant sur une communication simple, compréhensible par votre cheval, en mettant son confort au centre des intérêts !! Je me suis lancé un défi, aider le plus grand nombre de chevaux à être mieux dans leur corps, et leur cavalier à les rendre plus souple en améliorant leur décontraction. Pour cela je vous dévoile ma méthode, dans laquelle je vous détaille tout, chaque séance, pour des réusltats dans moins de 30 jours !!

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