sansarme au combat _____neilujjulien te fait rien - Topic On est des soldats , du 02-07-2010 22:00:28 sur les forums de jeuxvideo.com
Soldatssans armes Soldats sans visages Ils vivaient dans l'ombre Sans dire leur nom Ils se battaient sans pitié, sans merci, sans fusil Ils se battaient, se battaient, se battaient Ils allaient y laisser Leurs plus belles années C'est court, la jeunesse Mais ils n'y pensaient pas Ils étaient là Il fallait y être Alors, ils ont tenu Autant
75Casques bleus philippins prêts au combat. Des dizaines de Casques bleus philippins chargés de surveiller le cessez-le-feu entre Israël et la Syrie sur le plateau du Golan se tiennent prêts
Pourdéjouer la répression, le mouvement des soldats a appris à apparaître là où on l’attend le moins. La clandestinité qui lui a été imposée ne l’a pas empêché dans les sept dernières années, de progresser et de passer de la propagande à l’action syndi-cale. Le syndicalisme est l’arme de tous les soldats, c’est la
Pourun soldat au combat, sa propre mort est une hypothèse de travail. C'est généralement suffisamment motivant pour éviter de se poser des questions métaphysiques concernant les
Lincroyable histoire du soldat américain qui a sauvé 75 personnes sans toucher à une arme en 1945 Repéré par Vincent Manilève — 6 novembre 2016 à 17h58 Le réalisateur
Prèsde la moitié des 16 000 hommes engagés sont mis hors de combat. Au total, sur 8 millions de soldats mobilisés pendant la Grande Guerre (dont 1,4 million tués ou disparus), la mobilisation des troupes coloniales aura concerné : • 175 000 Algériens (dont 35 000 tués ou disparus), • 40 000 Marocains (dont 12 000 tués ou disparus),
MCOv7. La centrale nucléaire de Zaporijjia, en zone occupée dans le sud de l'Ukraine, a été "déconnectée" jeudi du réseau ukrainien, selon Kiev. Les Etats-Unis ont mis en garde la Russie contre un détournement de l'énergie produite qui serait "inacceptable". Le président russe Vladimir Poutine a signé le même jour un décret ordonnant d'augmenter de 10% + 137'000 soldats le nombre des militaires que compte l'armée, en pleine offensive contre l'Ukraine et sur fond de tensions croissantes avec les pays occidentaux. Au centre de toutes les inquiétudes en raison de bombardements dont s'accusent mutuellement Russes et Ukrainiens, la centrale de Zaporijjia s'est trouvée "totalement déconnectée" du réseau après des dommages sur les lignes électriques causés par des incendies, a annoncé la compagnie d'Etat ukrainienne Energoatom. Elle a précisé que les installations nucléaires restaient alimentées par la centrale thermique voisine. "La Russie a mis les Ukrainiens, tout comme l'ensemble des Européens, aux portes d'une catastrophe nucléaire", a déclaré dans la soirée le président ukrainien Volodymyr Zelensky. "Les Ukrainiens doivent savoir que nous faisons tout ce que nous pouvons pour éviter un scénario catastrophe. Mais cela ne dépend pas que de nous", a-t-il fait valoir. M. Zelensky a estimé que "la réaction de l'AIEA Agence internationale de l'énergie atomique devrait être beaucoup plus rapide qu'elle ne l'est". L'AIEA a dit avoir été "informée par l'Ukraine" de cette perte de connexion. "Mais la centrale est actuellement en marche", a-t-elle souligné, confirmant qu'elle "reste connectée" à partir de "la centrale thermique voisine qui peut fournir de l'électricité de secours". La diplomatie américaine a prévenu jeudi que toute tentative russe de détourner l'énergie nucléaire de l'Ukraine serait "inacceptable". "L'électricité qu'elle produit appartient de droit à l'Ukraine et toute tentative de déconnecter la centrale du réseau ukrainien pour rediriger l'électricité vers les régions occupées est inacceptable", a-t-elle martelé. Bombardement d'une gare De son côté, le président américain Joe Biden s'est entretenu avec son homologue ukrainien pour lui renouveler son soutien à l'occasion de la fête nationale ukrainienne du 24 août. "C'est un anniversaire doux-amer, mais j'ai dit clairement que les Etats-Unis continueraient à soutenir l'Ukraine et son peuple dans leur lutte pour leur souveraineté", a écrit M. Biden dans un tweet. L'Ukraine a dénoncé jeudi le bombardement russe d'une gare qui a provoqué la veille selon elle la mort d'au moins 25 civils. Moscou a affirmé de son côté avoir visé un train militaire et tué plus de 200 soldats. Perpétrée le jour de la fête nationale ukrainienne, qui coïncidait avec le sixième mois de l'offensive déclenchée par la Russie le 24 février contre l'Ukraine, cette frappe sur la gare de Tchapliné, dans la région de Dnipropetrovsk centre, a été dénoncée par le président Zelensky devant le Conseil de sécurité de l'ONU. "Nous allons faire en sorte que les agresseurs paient pour tout ce qu'ils ont fait. Et nous allons les chasser de notre terre", avait lancé mercredi soir M. Zelensky par vidéoconférence. Après le Britannique Boris Johnson la veille, il a reçu jeudi à Kiev le ministre italien des Affaires étrangères Luigi Di Maio. Le bilan exact du bombardement restait à confirmer jeudi. Oleg Nikolenko, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, a fait état sur Twitter de "25 civils tués à la suite d'un tir de missile" sur la gare, dénonçant le "terrorisme de Moscou". Le parquet général ukrainien a de son côté indiqué que "10 civils avaient été tués, dont deux enfants de six et 11 ans, et 10 autres blessés, dont deux enfants" à la gare de Tchapliné et dans ses environs, laissant ouverte la possibilité que les autres victimes ne soient pas des civils. "Un train militaire" La Russie affirme quant à elle avoir frappé "un train militaire" en partance pour "les zones de combat" de l'est de l'Ukraine, l'objectif stratégique prioritaire de Moscou. Un missile Iskander "a directement touché un train militaire dans la gare de Tchapliné ..., éliminant plus de 200 militaires de la réserve des forces armées ukrainiennes" ainsi que des équipements, a déclaré le ministère russe de la Défense. Les opérations de recherche des survivants se poursuivaient jeudi à Tchapliné, a souligné le gouverneur de Dnipropetrovsk, Valentin Reznitchenko. Selon l'état-major de l'armée ukrainienne, celle-ci "a repoussé une attaque près de Dolyna et de Dmytrivka", dans la région de Donetsk est. "L'occupant a essayé d'avancer près de Kodema est et Bakhmout est, lançant des assauts, subissant des pertes, puis battant en retraite", a-t-il ajouté. Depuis le retrait des troupes russes des environs de Kiev fin mars, l'essentiel des affrontements s'est concentré dans l'est, où elles ont progressé très lentement avant que le front ne se fige, et dans le sud, où les Ukrainiens disent mener une contre-offensive, également très lente. La Russie continue cependant de frapper régulièrement d'autres régions avec des missiles de longue portée, même si la capitale et ses environs sont rarement touchés. Cet article a été publié automatiquement. Sources ats / afp
L'Ukraine utilise cette technologie pour identifier et contacter les familles des soldats russes morts. Un moyen de contester la propagande du Kremlin en révélant l'ampleur du carnage, mais qui s'appuie sur une méthode critiquée."Nous n'abandonnons pas les nôtres." C'est l'un des slogans utilisés par les Russes qui présentent la guerre en Ukraine comme une opération de soutien aux minorités russophones ukrainiennes, reprenant la propagande du Kremlin. Pourtant, depuis le début du conflit, Kiev affirme que Moscou refuse de récupérer les dépouilles de ses soldats tombés au combat. "Les autorités russes ne veulent pas de ces corps", affirmait la Vice-Première ministre ukrainienne, Iryna Vereshchuk, au Guardian* en mars. Il a fallu attendre le 4 juin pour que les deux pays reconnaissent publiquement un premier échange de corps, même si d'autres semblent avoir eu lieu de manière moins officielle, selon des médias ukrainiens*. >> Guerre en Ukraine suivez notre direct Les pays en guerre ont l'obligation de rechercher, récupérer et identifier les corps des victimes "sans délai", comme le prévoient les conventions de Genève*. Or Moscou n'a pas actualisé son bilan officiel 1 351 victimes depuis le 25 mars et ne fournit pas non plus à l'Ukraine de liste de ses disparus. Or, ces corps peuvent être difficiles à identifier, parce qu'ils ont été dégradés par les combats, par la décomposition ou parce qu'ils ne portaient pas de documents d'identité. Pour leur redonner un nom, l'Ukraine a choisi de se tourner vers une technologie controversée la reconnaissance faciale. "Nous utilisons l'intelligence artificielle pour chercher les comptes de réseaux sociaux de soldats russes morts à partir des photos de leur corps", expliquait dès le mois de mars le ministre de la Transformation numérique, Mykhailo Fedorov, sur Telegram en ukrainien. "Ceux qui ont accès à ces logiciels peuvent y rentrer une photo d'un soldat russe et il les renverra vers les images les plus similaires, avec un lien vers leur source, comme un profil sur les réseaux sociaux", explique Théodore Christakis, chercheur spécialiste de l'intelligence artificielle à l'Université Grenoble Alpes. Encore faut-il que les noms des soldats parviennent jusqu'aux familles en Russie. Dès le début du conflit, Kiev a établi plusieurs plateformes pour regrouper les noms et les images des morts ou prisonniers russes identifiés par le logiciel un site nommé Cherchez les vôtres en russe, une chaîne Telegram associée et une ligne téléphonique appelée "Revenir en vie d'Ukraine" qui avait déjà reçu plusieurs centaines d'appels au 27 février, selon le Parlement ukrainien*. Le site Cherchez les vôtres a rapidement été bloqué en Russie, mais les internautes peuvent y accéder via un VPN. Les autorités ukrainiennes contactent aussi directement les familles qu'elles ont pu retrouver, explique Mykhailo Fedorov sur CNN*. Des groupes moins formels, comme le réseau de pirates informatiques pro-Ukraine "IT Army" informent aussi les familles de victimes via les réseaux sociaux, rapporte le Moscow Times*. Le ministre de la Transformation numérique, dont les services n'ont pas répondu aux sollicitations de franceinfo, explique sur CNN que cette démarche a deux objectifs. "Donner aux familles une opportunité de retrouver les corps", mais aussi "leur montrer qu'il y a une véritable guerre [en Ukraine], combattre la propagande russe, leur montrer qu'ils ne sont pas aussi forts que ce qu'on leur dit à la télévision et que des gens meurent vraiment ici". En révélant aux familles le coût humain du conflit, Kiev met à mal le récit répété depuis le 24 février par le Kremlin, qui use toujours de l'euphémisme "opération spéciale" et refuse de communiquer le nombre de victimes dans ses rangs. Les données biométriques ont déjà été utilisées en zone de guerre comme en Irak ou en Afghanistan, mais "le développement de la reconnaissance faciale a permis de l'utiliser en Ukraine plus que dans tout autre conflit", affirme Christine Dugoin-Clément, chercheuse au think tank CAPE Europe et spécialiste de l'Ukraine. "Elle est devenue plus efficace, plus facile d'utilisation et les algorithmes ont accès à beaucoup plus de données sur internet qu'il y a quelques années pour comparer les visages", ajoute la spécialiste. Derrière ce développement, on trouve notamment une entreprise américaine bien connue du secteur Clearview AI. "Clearview récolte massivement des images qu'on trouve publiquement sur Internet et les réseaux sociaux pour alimenter sa base de données, avec laquelle elle peut ensuite comparer les visages qu'on lui soumet", décrit Théodore Christakis. En février, l'entreprise vantait son catalogue de 10 milliards d'images, dont plus de deux milliards tirées du réseau social favori des Russes, VKontakte, d'après Reuters*. Le dirigeant de l'entreprise, Hoan Ton-That, assure avoir mis son logiciel commercial à disposition des autorités ukrainiennes gratuitement par altruisme. "Je me souviens d'avoir vu des vidéos de soldats russes capturés et la Russie affirmait qu'ils étaient des acteurs, a-t-il expliqué au New York Times*. Je me suis dit que si les Ukrainiens pouvaient utiliser Clearview, ils pourraient obtenir plus d'information pour vérifier leurs identités." Contacté par franceinfo, Hoan Ton-That affirme qu'au 17 juin, plus de 40 000 recherches ont été effectuées par plus de 500 Ukrainiens formés et autorisés à utiliser son application. Une bonne action salvatrice pour une entreprise controversée. Clearview a déjà été condamnée par de nombreuses autorités de la protection des données, notamment en Europe, au Royaume-Uni, en Australie et au Canada. La raison la collecte massive d'images transformées en données biométriques sans l'accord de leurs propriétaires ne respecte pas les droits des internautes. Les systèmes de reconnaissance faciale sont également accusés de biais racistes. Les erreurs de correspondance des "faux positifs" seraient 10 à 100 fois plus fréquentes pour des visages asiatiques et afro-américains que des visages blancs, selon une étude américaine* de 2019. "La guerre en Ukraine est aussi l'occasion pour Clearview de se refaire une virginité", note Théodore Christakis. Plus généralement, la reconnaissance faciale n'est pas encore fiable à 100%. "Plus les photos des bases de données sont anciennes, plus les personnes ont changé, donc moins la correspondance sera facile à établir", explique Jean-Luc Dugelay, professeur en sécurité numérique à l'école d'ingénieurs Eurecom. Tout ce qui altère le visage peut avoir un effet sur la fiabilité de ces logiciels, rappelle le spécialiste de la reconnaissance faciale le temps, mais aussi dans le cas des soldats russes, la mort, les blessures ou la décomposition. Auprès de franceinfo, Hoan Ton-That affirme qu'il n'a connaissance d'aucun cas où l'identification retournée par le logiciel était erronée. Mais "il n'y a aucun retour scientifique indépendant sur la qualité de leur technologie", pointe Jean-Luc Dugelay. "Le risque est de mal identifier une personne et de dire à la mauvaise famille que leur proche est mort", décrit au Guardian* Albert Fox Cahn, fondateur du Surveillance Technology Oversight Project, une association de lutte contre la surveillance. Une identification erronée pourrait même avoir des conséquences encore plus graves, car l'Ukraine n'utilise pas cette technologie seulement sur des cadavres. "Elle s'en sert aussi pour identifier des prisonniers, aux points d'entrée en Ukraine pour détecter d'éventuels espions russes, ou pour mettre un nom sur les soldats russes dont les crimes ont été filmés", liste Théodore Christakis, ce que confirme Hoan Ton-That à franceinfo. Les erreurs de correspondance pourraient alors devenir une question de vie ou de mort. Même si l'identification des soldats russes est correcte, la démarche des autorités ukrainiennes fait l'objet de critiques. "Elle s'inscrit aussi dans le cadre d'une bataille pour démoraliser l'ennemi et sa population civile", souligne Théodore Christakis. Elle pourrait également être contre-productive, car pour prouver aux familles qu'un de leurs proches est mort, les autorités ukrainiennes en arrivent à montrer des images de son cadavre, au risque d'alimenter leur haine de l'Ukraine. Sur CNN*, Mykhailo Fedorov explique que "80% des réponses des familles sont 'Nous allons venir en Ukraine nous-mêmes et vous tuer, vous méritez ce qui vous arrive.'" Certains redoutent aussi que cette application de la reconnaissance faciale serve d'exemple pour étendre son usage, en Ukraine et ailleurs. "Les zones de guerre sont souvent utilisées comme zones de test, pas seulement pour les armes mais aussi pour des outils de surveillance qui sont ensuite déployés sur des populations civiles pour le maintien de l'ordre", expliquait au New York Times* l'activiste Evan Greer, qui dirige l'ONG Fight for the Future. Théodore Christakis assure que "Clearview ne pourra pas être utilisé aussi largement en Europe qu'en Ukraine, car les autorités de protection des données ont posé des limites très fortes". Mais Kiev ne s'attendait pas non plus à l'utiliser, avant la guerre, comme le soulignait Mykhailo Fedorov en mars sur Telegram "Nous avons commencé à faire des choses que nous ne pouvions pas imaginer il y a un mois." * Tous les liens suivis d'un astérisque mènent vers des liens en anglais.
français arabe allemand anglais espagnol français hébreu italien japonais néerlandais polonais portugais roumain russe suédois turc ukrainien chinois italien Synonymes arabe allemand anglais espagnol français hébreu italien japonais néerlandais polonais portugais roumain russe suédois turc ukrainien chinois ukrainien Ces exemples peuvent contenir des mots vulgaires liés à votre recherche Ces exemples peuvent contenir des mots familiers liés à votre recherche Vous voulez dire sans des soldats qui peuvent faire passer leurs poings à travers une table. Intende dire... senza soldati che battono i pugni sul tavolo. Vous voulez dire sans des soldats qui peuvent faire passer leurs poings à travers une table. Plus de résultats De 1805 à 1814, les français envoyèrent sur San Servolo des soldats de l'Empire napoléonien. Dal 1805 al 1814 i francesi ricovereranno a San Servolo anche i soldati dell'Impero napoleonico. Il se déclare à nouveau solidaire sans restriction des soldats des forces alliées et des membres de celles-ci. Vous pouvez les dépenser pour recruter des soldats sans disposer d'une caserne. Potete usarle per reclutare i soldati senza avere le caserme. Je devais rester en Autriche à attendre les ordres... et à surveiller des soldats sans ennemis à combattre. Così nel frattempo rimasi in Austria, in attesa di ordini e facendo la guardia a soldati che non avevano un nemico da combattere. L'entière responsabilité de la mort injuste et sans gloire des soldats et policiers italiens incombe exclusivement au gouvernement italien, qui s'est empressé de venir en aide aux envahisseurs en prenant fait et cause pour l'gouvernement doit rendre des comptes aux parents des innocentes victimes. La responsabilità dell'ingiusta ed oscura morte dei soldati e carabinieri italiani ricade esclusivamente sul governo del loro paese, che si è affrettato a correre in aiuto degli invasori partecipando all'occupazione ed ora dovrà giustificarsi di fronte alle famiglie delle vittime innocenti. San Martín envoie des soldats qui participent aux victoires de Riobamba et de Pichincha, qui assurent la reddition de Quito. San Martín vi contribuisce, inviando soldati che partecipano alle vittorie di Riobamba e Pichincha, che comportano la resa di Quito. La plupart des soldats sans grades et des mercenaires furent libérés peu après la bataille à la condition qu'ils se présentent à Cracovie le 11 novembre 1410. Quasi tutti i popolani e i mercenari prigionieri furono rilasciati poco dopo la battaglia, con la condizione che facessero rapporto a Cracovia l'11 novembre 1410. Le Parlement exige la libération immédiate et sans condition des onze soldats britanniques enlevés et exhorte le gouvernement de Sierra LEONE à rester ferme sur ses positions. Anche la riunificazione familiare deve essere semplificata e facilitata, includendo i partner non sposati, i parenti in linea discendente o ascendente e i cittadini di paesi terzi appartenenti alla famiglia di un cittadino dell'Unione. L'armée, comme d'habitude, est sans solde; et une grande partie des soldats sans chemises; et bien que leur patience soit également épuisée, les États semblent parfaitement indifférents à leurs cris. "L'Esercito, come al solito, è senza paga; e gran parte della milizia senza camicie; e sebbene la loro pazienza sia altrettanto logora, gli Stati Uniti sembrano perfettamente indifferenti alle loro grida". Vous ne pouvez les battre sans soldats. Près de la moitié des soldats britanniques sans membres y ont été traités à un moment donné. Quasi la metà dei soldati senza arti della Gran Bretagna è stata curata lì a un certo punto. Des soldats, sans citer aucune légion, considéraient comme amusant de les vider sur la tête d'honnêtes citoyens. Alcuni soldati, non saprei dire di quale legione, ...pensarono che fosse divertenti rovesciarli sulle teste degli onesti cittadini. Sans vos soldats, mes hommes contrôlent l'entrée. Senza i vostri soldati, i miei uomini controllano l'entrata. C'est comme un M16 sans soldat pour appuyer sur la gâchette. Come un M-16 carico senza un marine addestrato che prema il grilletto. La guerre se fera sans soldats ! Sans soldats, sans rien, nous étions en guerre. J'ai traversé cette ville assez librement hier sans soldat, policier ou gardien pour s'accrocher à mes pas... juste avec deux amis syriens, une appareil photo et un carnet de notes. Ho attraversato questa città abbastanza liberamente ieri senza soldato, poliziotto o agente di sicurezza a seguire i miei passi, solo due amici siriani, una macchina fotografica e un taccuino. Je ne l'aurais jamais fait sans le soldat Yahzee. Non avrei potuto farlo senza il soldato Ben Yahzee. Aucun résultat pour cette recherche. Résultats 3801. Exacts 2. Temps écoulé 672 ms. Documents Solutions entreprise Conjugaison Synonymes Correcteur Aide & A propos de Reverso Mots fréquents 1-300, 301-600, 601-900Expressions courtes fréquentes 1-400, 401-800, 801-1200Expressions longues fréquentes 1-400, 401-800, 801-1200
Ce samedi, d’intenses combats de rue se poursuivent à Severodonetsk, ville stratégique de l’Est de l’Ukraine dont dépend le contrôle de l’entière région du Donbass, alors que Kiev ne cesse de réclamer à ses alliés occidentaux de nouvelles armes lourdes. Vendredi, le président Zelensky a accusé la Russie de vouloir "dévaster chaque ville du Donbass, chacune, sans exagération". Le conseiller du président ukrainien, Oleksiy Arestovich, a révélé qu'environ soldats ukrainiens sont décédés depuis le début de l'invasion russe, le 24 février. La présidente de la Commission européenne est revenue à Kiev samedi et promis une réponse "la semaine prochaine" à la demande de l'Ukraine de se porter candidate à l'Union européenne, alors que l'offensive russe s'intensifie dans l'est du pays. Suivez la situation en direct dans le live ci-dessous.
Il est encore en vie, p*****! » Sur le bord d’une petite route de campagne à l’ouest de Kiev, un groupe de militaires ukrainiens se tient à côté des corps de quatre soldats russes qui gisent au sol dans une mare de sang. Alors que l’un d’eux semble toujours en vie et respire difficilement, l’un des Ukrainiens empoigne son arme et l’achève en lui tirant dessus à trois reprises. Une vidéo sanglante dont les informations ont été vérifiées par des enquêtes du New York Times » et la notre vidéo. La suite après la publicité Le visionnage de cette vidéo est susceptible d'entraîner un dépôt de cookies de la part de l'opérateur de la plate-forme vidéo vers laquelle vous serez dirigée. Compte-tenu du refus du dépôt de cookies que vous avez exprimé, afin de respecter votre choix, nous avons bloqué la lecture de cette vidéo. Si vous souhaitez continuer et lire la vidéo, vous devez nous donner votre accord en cliquant sur le bouton ci-dessous. Une embuscade ukrainienneLa scène est survenue à la suite d’une embuscade tendue par les troupes ukrainiennes à leur ennemi. Ces derniers circulaient à bord de blindés BMD-2, des chars de combat d’infanterie utilisé par les soldats de Vladimir Poutine. La nationalité des soldats capturés est notamment attestée par leurs brassards blancs, un signe distinctif utilisé par les forces russes, tandis que les militaires portent des brassards aux couleurs ministère de la Défense de l’Ukraine avait signalé la destruction d’un convoi russe à ce même endroit, information confirmée par le journaliste indépendant Oz Katerki le 2 les rues de Boutcha, des scènes de barbarie après le retrait de l’armée russeQuestionné au sujet de cette vidéo, qu’il déclare ne pas avoir vue, le secrétaire général de l’Otan Jens Stoltenberg a affirmé que chaque élément rapportant de potentielles violations du droit international devrait être suivi ou examiné ». L’ONG Human Right Watch, de son côté, avait précédemment alerté sur des abus potentiels contre des prisonniers de guerre », lesquels constitueraient un crime de guerre ».
on est des soldats sans armes au combat