Enseignanteet confĂ©renciĂšre, spĂ©cialiste des plantes mĂ©dicinales, elle a publiĂ© de nombreux ouvrages dans ce domaine. Pharmacienne, Claudine Luu est une sommitĂ© dans le monde de la phytothĂ©rapie et des mĂ©decines naturelles. Depuis plus de 50 ans, elle n'a de cesse d'Ă©tudier les plantes et de transmettre ses connaissances. PlantesAromatiques et MĂ©dicinales dans la RĂ©serve de BiosphĂšre Intercontinentale de la MĂ©diterranĂ©e CrĂ©ation de coopĂ©ratives et la valorisation des PAM, MISSION 2 L’AGENCE POUR LA PROMOTION ET LE DÉVELOPPEMENT ECONOMIQUE ET SOCIAL DES PROVINCES DU NORD. ROYAUME DU MAROC L’AGENCE POUR LA PROMOTION ET LE DÉVELOPPEMENT Voiciun document pratique d'emploi par ses contenus, format (16x24) et prĂ©sentation agrĂ©able. Il comprend 23 fiches d'aide Ă  la reconnaissance des principaux ravageurs et auxiliaires des plantes aromatiques. Elles apportent des Ă©lĂ©ments de description, de biologie, de comportements, LencyclopĂ©die plantes mĂ©dicinales de Doctissimo Contenant des fiches sur plus de 250 plantes mĂ©dicinales, ce guide des plantes utilisĂ©es en phytothĂ©rapie vous aidera Ă  mieux apprĂ©hender les propriĂ©tĂ©s mĂ©dicales et les bienfaits de ces vĂ©gĂ©taux sur la santĂ©. Envie de savoir les indications thĂ©rapeutiques d’un simple clic ? PlantesĂ  parfum mĂ©dicinales et aromatiques : Le sĂ©chage : Des principes Ă  la dĂ©finition de votre installation . ITEIPMAI, Auteur ; Christophe HENRY, Auteur ; Xavier SIMONNET, Auteur | CHEMILLE (BP 09 Melay, 49120, FRANCE) : ITEIPMAI (Institut Technique Interprofessionnel des plantes Ă  Parfum, MĂ©dicinales et Aromatiques) | 1995. Disponible; Ouvrage de synthĂšse Ă  le site Internet officiel de l’Institut de recherche de l’agriculture biologique (Suisse, Allemagne, France, Autriche et Europe) FiBL - Nouvelle fiche technique: RĂ©gulation des ravageurs en culture de plantes mĂ©dicinales et aromatiques biologiques (PMA) Recadrerla place des PPAM dans l'exploitation et dans l'Ă©conomie agricole. Les diffĂ©rents canaux de commercialisation, circuits courts et circuits longs; DĂ©couvrir les itinĂ©raires techniques de culture de quelques espĂšces de PPAM. Choix des espĂšces et variĂ©tĂ©s selon le contexte pĂ©do-climatique Les diffĂ©rentes formes de plants, les 6GGJ9D. Accueil Navigation principale Contenu Navigation pied de page PPAM BIOLes clĂ©s de la rĂ©ussite Le dĂ©sherbage des cultures de PPAM reste la problĂ©matique majeure des producteurs bio. Le dĂ©sherbage mĂ©canique, entre et sur le rang, fait l’objet de toutes les attentions et Ă©volue constamment. En parallĂšle, d’autres pratiques culturales sont Ă  l’étude pour contrĂŽler l’enherbement choix et prĂ©paration du terrain d’implantation, prĂ©cĂ©dent cultural, paillages vĂ©gĂ©taux, enherbement des inter-rangs, rotation des cultures,
 S’installer en PPAM bio Vous souhaitez vous installer en culture de PPAM bio, aidez-vous de notre arbre Ă  la dĂ©cision et des fiches informatives qui l’accompagnent, afin d’obtenir toutes les rĂ©ponses aux questions qui jalonnent le parcours Ă  l’installation. Du projet agricole ou du parcours Ă  l’installation en gĂ©nĂ©ral, jusqu’à la rĂ©glementation et Ă  la commercialisation des plantes, en passant par la formation, le dimensionnement de l’atelier PPAM, la production et la transformation des plantes en AB
 vous trouverez des ressources et des contacts pour avancer efficacement dans votre projet. Cet outil a Ă©tĂ© créé par l’ensemble des partenaires du projet I3D PPAM, portĂ© par Bio Nouvelle Aquitaine et financĂ© par France Agrimer. TĂ©lĂ©charger le document au format pdf Notre accompagnement Besoin d'un conseil technique, contactez nous Si vous avez un projet d’installation ou conversion en PPAM bio, contactez le conseiller projet de votre dĂ©partement. Accompagnement collectif En plus de l’accompagnement individuel formations, accompagnement collectif groupes d’échanges, Ă©change de savoir-faire, structuration collective GIEE, CUMA, magasins de producteurs, atelier de transformation collectif Ă  la demande en fonction des besoins des producteurs, acquisitions de rĂ©fĂ©rences technico-Ă©conomiques, veille technique
. ExpĂ©rimentations 2 expĂ©rimentations sont en cours sur la rĂ©gion – Les diffĂ©rentes modalitĂ©s de paillage Ă  base de chanvre pour lutter contre l’enherbement en culture de PPAM bio – Etude du rendement en huiles essentielles de lavandin, thyms chĂ©motypĂ©s et hĂ©lichryse conduits en AB La Chambre d'agriculture de l'IsĂšre accompagne le dĂ©veloppement des plantes Ă  parfum, aromatiques et mĂ©dicinales prĂ©sentes dans les exploitations agricoles du du sol, techniques culturales, protection contre les maladies et ravageurs, implantation des cultures, aspects techniques, rĂ©glementaires ou administratifs, recherche de dĂ©bouchĂ©s, les conseillerĂšres de la Chambre d’agriculture vous accompagnent. Nous vous proposons une large gamme de services technico-Ă©conomiques information, formation, conseil et expertise. Dans le cadre du parcours au BPREA, liste des productions en UCAREs UnitĂ© Capitalisable d’Adaptation RĂ©gionale dispensĂ©es par le CFPPA AriĂšge-Comminges Six productions en UCAREs UCARE – PGA UCARE-PGA – Plan de Gestion Agroforestier RĂ©alisation d’un plan de gestion agroforestier Ă  partir d’un projet ou d’une parcelle existante UCARE – PPAM UCARE-PPAM – Transformation et valorisation des plantes Ă  parfum aromatique et mĂ©dicinales. Être capable de comprendre le contexte, de pratiquer la cueillette, de vendre des produits et gĂ©rer les process. UCARE – SAF UCARE-SAF – La culture du Safran. ApprĂ©cier les contextes pĂ©doclimatiques, les opĂ©rations culturales, les rĂ©sultats de la production, rĂ©glementations et sĂ©curitĂ©. UCARE – TFPA UCARE-TFPA – Transformation fermiĂšre des produits issus des productions animales. Être en capacitĂ© de crĂ©er, de gĂ©rer et d’utiliser un atelier de transformation pour valoriser des produits laitiers ou carnĂ©s. UCARE – TV UCARE-TV – Transformation des produits vĂ©gĂ©taux. Mener Ă  bien un projet de transformation vĂ©gĂ©tale en abordant les principaux procĂ©dĂ©s, les mĂ©thodes de conservation, les coĂ»t, rĂ©glementation et sĂ©curitĂ©. UCARE – VEPM UCARE-VEPM – Valorisation des espaces pastoraux de montagne. Être en capacitĂ© d’apprĂ©hender la structure du pastoralisme, de comprendre l’exploitation et mener la conduite en estive. Les objectifs de la formation La formation adaptation rĂ©gionale comprend 6 productions au sein d’une UCARE. Transformation et valorisation pour informer les stagiaires sur les diffĂ©rentes techniques de la production et de la cueillette. Elle se focalise essentiellement sur la transformation et la valorisation des plantes Ă  parfum ou de toutes sortes de parcelle de type aromatique ou Ă  vocation mĂ©dicinale. Cette formation adaptation rĂ©gionale productions vise Ă  comprendre le contexte et les contraintes du marchĂ© agroforestier avec notamment les Ă©volutions du marchĂ© et du process de fabrication des produits finis. Elle se focalise Ă©galement sur la pratique de la cueillette de diffĂ©rentes plantes selon le climat ambiant tout en appliquant les principales rĂšgles de sĂ©curitĂ©. Cette formation met en avant la gestion de la transformation des produits Ă©levĂ©s en culture et de mener les diverses opĂ©rations en respectant les normes de fabrication et de production selon un plan préétabli. La formation met l’accent sur l’autonomie du futur gĂ©rant de l’exploitation en sylviculture et transmet les bases nĂ©cessaires Ă  la conduite des activitĂ©s, tout en abordant les parties thĂ©oriques liĂ©es aux rĂ©glementations françaises et europĂ©ennes. Les principaux travaux rĂ©alisĂ©s pendant la formation La formation adaptation rĂ©gionale productions est agrĂ©mentĂ©e de diffĂ©rentes Ă©preuves pratiques et thĂ©oriques relative Ă  la production ou Ă  la gestion d’une exploitation. Au sein du cursus, les apprenants seront en capacitĂ© de crĂ©er et de gĂ©rer un atelier pour valoriser les produits Ă  partir d’un projet ou d’une parcelle existante. Ils apprendront Ă  constituer un plan de gestion de transformation et de valorisation des plantes de diffĂ©rentes variĂ©tĂ©s en prenant en considĂ©ration diffĂ©rentes problĂ©matiques. Ils seront en capacitĂ© d’apprĂ©hender la structure du pastoralisme et de comprendre le fonctionnement d’une exploitation. Ils seront capables de comprendre le contexte, de pratiquer la cueillette, de vendre des produits et gĂ©rer les process. Une autre Ă©preuve importante vise Ă  apprĂ©cier les contextes pĂ©doclimatiques, les opĂ©rations culturales, les rĂ©sultats de la production, les rĂ©glementations et la sĂ©curitĂ©. Serge Guza est producteur de plantes mĂ©dicinales dans l’Indre, et propose au sein de son association Phytobrenne, l’accueil et la formation de ceux qui souhaitent dĂ©couvrir son activitĂ©, et, qui sait, se lancer dans la production. Interview pour un vademecum de l’ vient ce nom, Phytobrenne ? Phyto signifie plante » en grec, et Brenne » est le nom du parc naturel rĂ©gional situĂ© Ă  l’ouest du dĂ©partement de l’Indre. C’est donc dans l’Indre que tu as trouvĂ© ta terre d’accueil. Est-ce par hasard ? Avant de m’installer, j’étais responsable logistique dans une entreprise hollandaise. Je me suis installĂ© en plantes mĂ©dicinales assez rĂ©cemment, en 1997. Nous avions, Maryse et moi, un projet d’accueil, avec les plantes mĂ©dicinales pour support. C’est l’inverse qui s’est passĂ©, l’activitĂ© de production domine sur l’accueil l’organe crĂ©e la fonction ». Quant au choix de la rĂ©gion, il s’est effectivement fait par hasard je voulais m’installer sur une exploitation Ă  taille humaine, avec potentiel de bĂąti intĂ©ressant pour dĂ©velopper l’accueil, un puits. C’est ici que j’ai trouvĂ© nos deux hectares et les bĂątiments que j’ai en partie rĂ©novĂ©s. Je produis en biodynamie les animaux ont une place importante dans cette approche, nous avons une vache jersiaise et une Ăąnesse. J’aurais aimĂ© avoir deux hectares de plus pour ne pas ĂȘtre obligĂ© d’acheter du foin, mais cela demanderait davantage de travail, nous sommes dĂ©jĂ  bien occupĂ©s ! Ce genre d’achat ou d’échange permet, et c’est important, d’entretenir des relations avec des voisins, des amis
 Le sol de ton exploitation est-il propice Ă  la production de plantes mĂ©dicinales ? TrĂšs propice, j’ai eu de la chance. Les plantes mĂ©dicinales et aromatiques sont pour beaucoup d’entre elles originaires des rĂ©gions du sud, elles aiment les sols secs, plutĂŽt calcaires, avec un pH >7. Ici le sol est argilo-calcaire, trĂšs peu profond 10 Ă  15 cm il s’assĂšche rapidement aprĂšs une grosse pluie, mais retient une humiditĂ© suffisante grĂące Ă  l’argile. Dans d’autres rĂ©gion, quand le sol est moins propice, il y a tout de mĂȘme moyen de produire des choses intĂ©ressantes, en choisissant d’autres plantes mĂ©dicinales adaptĂ©es aux conditions locales, ou en amendant le sol. Quels choix techniques as-tu fait pour ces cultures ? Au dĂ©marrage, j’ai fait des semis, puis j’ai replantĂ©, bouturĂ©, marcotté  Le principal inconvĂ©nient est un dĂ©marrage lent de l’activitĂ© la premiĂšre annĂ©e, on ne peut compter que sur les plantes annuelles, avec cette maniĂšre de faire les vivaces comme le thym, la lavande
 n’entrent en production qu’au bout de trois ans environ il leur faut du temps pour se dĂ©velopper. En revanche, l’avantage est considĂ©rable j’obtiens des plantes qui ont eu le temps de s’adapter aux conditions locales, qui se ressĂšment seules
 Pour que les plantes mĂ©dicinales dĂ©veloppent bien leurs principes actifs, il faut aussi qu’elles manquent un peu d’eau. Je n’arrose qu’à la mise en place, cela signifie que je consens Ă  produire un peu moins, afin d’obtenir la qualitĂ© que je souhaite pour mes produits. J’ai aussi des notions de permaculture, je laisse les plantes se ressemer naturellement. A terme, je ne voudrais pas avoir un champs de plantes mĂ©dicinales, mais un champs oĂč l’on trouve des plantes mĂ©dicinales plus ou moins rangĂ©es, et d’autres spontanĂ©es. Dans la mĂȘme logique, 1/3 environ des plantes que je vends provient de la cueillette de plantes sauvages. Comment as-tu appris Ă  connaĂźtre les plantes mĂ©dicinales et aromatiques, et comment as-tu choisi celles que tu vends ? Je me suis surtout formĂ© seul, grĂące Ă  des livres, des rencontres, des informations glanĂ©es cĂ  et lĂ . J’ai aussi suivi les cours de l’Association pour le Renouveau de l’Herboristerie. cf encadrĂ©. Il m’a fallu environ trois ans pour ĂȘtre opĂ©rationnel, mais bien sĂ»r je continue Ă  me former. Le choix des plantes mises en cultures tient compte de nombreux critĂšres – Les conditions Ă©daphiques le sol, biotiques interaction avec les animaux, les hommes, les autres formes de vies prĂ©sentes, et climatiques sĂ©lectionnent dĂ©jĂ  certaines plantes. – Il existe des contraintes lĂ©gales seules certaines plantes peuvent ĂȘtre librement vendues en circuit direct comme je le fais, et encore, sous certaines conditions voir encadrĂ© Ă  ce sujet. – Il est intĂ©ressant de sĂ©lectionner les plantes que l’on vend selon un schĂ©ma thĂ©rapeutique pour ma part, j’ai recherchĂ© des plantes adaptĂ©es aux pathologies courantes des diffĂ©rents systĂšmes de l’organisme digestif, respiratoire, etc., ainsi que de grandes fonctions liĂ©es aux plantes mĂ©dicinales, comme le drainage, le sommeil
 Comment vends-tu tes plantes ? Je vends toute ma production en circuit direct, par correspondance et dans quelques boutiques. Ces boutiques sont peu nombreuses car vendre des plantes mĂ©dicinales nĂ©cessite une vĂ©ritable implication il faut les connaĂźtre, prendre le temps de conseiller les gens, alors que la marge est faible. A quels types de contrĂŽles ta production est-elle soumise ? La DSV direction des services vĂ©tĂ©rinaires est susceptible de venir faire des contrĂŽles Ă  tout moment. Elle est chargĂ©e de vĂ©rifier non seulement la qualitĂ© sanitaire des produits, mais aussi le fait que je produise et vende dans le respect des lois, trĂšs restrictives, rĂ©gissant le commerce des plantes mĂ©dicinales et aromatiques. Par ailleurs, je vends tout en bio l’organisme certificateur vient donc faire un contrĂŽle par an. Il regarde mes factures et ma comptabilitĂ©, recherche d’éventuelles substances interdites dans mon atelier, effectue quelques prĂ©lĂšvements pour vĂ©rifier la conformitĂ© des plantes avec l’appellation bio ». Lorsque je me suis installĂ©, nous nous sommes aussi mis d’accord sur mes lieux de cueillette de plantes sauvages. ConsidĂšres-tu que c’est une installation difficile ? Faut-il beaucoup de moyens ? Pour ma part, j’ai cherchĂ© toutes les astuces pour ne pas avoir trop de frais matĂ©riel d’occasion, modeste, auto-construction avec des matĂ©riaux locaux, souvent prĂ©levĂ©s dans la nature. Cela nĂ©cessite de devenir humblement et tour Ă  tour maçon, menuisier
 J’ai fait le choix de m’installer sans aides publiques. On m’avait d’ailleurs dit que ce n’était pas faisable, mais je suis tĂȘtu, j’en ai fait une sorte de dĂ©fi personnel ! Maryse m’encourage beaucoup, sans elle j’aurais sans doute abandonnĂ© l’aventure. L’important, c’est que ça existe, pas la perfection », dit-elle si mon mur de pierre monte de guingois ! SĂ©rieusement, je pense qu’on peut dĂ©marrer ce type d’activitĂ© avec environ 5000 euros cela permet de faire face Ă  l’achat du matĂ©riel nĂ©cessaire au dĂ©but, et aux premiĂšres cotisations. Bien sĂ»r, n’entre pas dans cette somme l’achat de la terre, des bĂątiments ou leur location. Ensuite pour les dĂ©bouchĂ©s, c’est un domaine oĂč il faut tout crĂ©er soi-mĂȘme. Quels conseils donnerais-tu Ă  ceux qui veulent s’installer en plantes mĂ©dicinales et aromatiques en vente directe ? Je crois qu’il ne faut pas chercher Ă  faire un gros truc, mais d’abord comprendre le territoire oĂč on se trouve pour comprendre ce qu’on doit faire dans sa ferme. Beaucoup d’échecs sont dus au fait que les gens s’isolent. Il faut rester ouvert, on n’a jamais la science infuse, et l’on peut apprendre beaucoup de l’entourage, des voisins, des gens qui vivent lĂ  de longue date. Techniquement, matĂ©riellement, il n’est pas trĂšs compliquĂ© de rĂ©ussir des produits de qualitĂ©s. Mais c’est une production, et un choix d’installation, qui se fait aussi avec le cƓur et la tĂȘte. Plus concrĂštement, je vois deux choses Ă  souligner d’abord ce n’est pas une installation trĂšs coĂ»teuse, mais il faut quand mĂȘme un peu d’argent. Ensuite il est important de se former Ă  l’herboristerie, et de ne pas avoir des plantes toutes de mĂȘme fonction. Il faut sĂ©lectionner celles-ci pour avoir dans ses produits un spectre thĂ©rapeutique » large. Et quels conseils adresserais-tu aux utilisateurs de ces plantes ? C’est du bon sens ! Il ne faut jamais utiliser une plante que l’on n’a pas clairement identifiĂ©e. La phytothĂ©rapie ne tolĂšre pas l’à-peu-prĂšs ! On prend souvent l’exemple des amateurs cherchant Ă  faire de la liqueur de gentiane en Auvergne, et qui confondent la plante avec le vĂ©rĂątre, extrĂȘmement toxique, et qui lui ressemble un peu. Ce genre d’erreurs a fait des morts, alors que si l’on se forme un peu, diffĂ©rents caractĂšres permettent de distinguer facilement ces deux plantes. Produit Healthy alternative Clean Label Autres Description du produit L’Herbier du Diois propose plus de 350 rĂ©fĂ©rences d’agriculture biologique, dont 230 plantes sĂ©chĂ©es aromatiques et mĂ©dicinales. Nos produits peuvent ĂȘtre vendus entiers ou transformĂ©s - coupe herboristerie - coupe 2 Ă  6 mm - coupe infusette 0,3 Ă  1,5 mm - poudre 300 ou 500 microns En savoir plus FiliĂšres AutresTags associĂ©s plantes aromatiqes plantes mĂ©dicinales agriculture biologique bio biologique Fournisseur IngrĂ©dients PAI Produits alimentaires intermĂ©diaires Conditionnement schaix Produits similaires En lien avec le produit

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